C'est celui qui devait être le parrain de mon fils qui est devenu fou hier et dont je ne veux plus en entendre parler.

Que je vous raconte le début de l'histoire:

Cet homme était un ami très proche auprès de qui je me suis souvent confiée. De son côté, il s'est souvent confié aussi à moi. C'est un homosexuel dont j'ai partagé la joie de le voir s'unir à l'homme qu'il aimait. Ensuite, il a eu des graves problèmes de santé. Au fil de nos échanges, j'ai découvert quelqu'un que j'appréciais beaucoup. C'est pour cela que je lui ai demandé de devenir le parrain de mon fils. Le baptème a même été repoussé car il a du être opéré. A ce jour, il n'a pas encore eu lieu mais ce sera sans lui.

Il a été en conflit avec son compagnon avec un couple qui avait été très amis avec eux. Quand ils ont découvert qu'ils étaient homosexuels, ces gens leur ont tourné le dos et ont eu des propos homophobes. De rage et par esprit de vengeance, mes "ex" amis ont voulu porter plainte pour homophobie. Ces gens ont, donc, répliqué en les accusant d'avoir essayé d'écraser leur fille. Ils avaient des certificats médicaux car elle aurait été blessée. Mon mari a apporté son témoignage car, ce jour là, il était là avec une tierce personne. Lui n'avait rien vu de particulier et cette tierce personne n'a pas voulu apporter son témoignange au tribunal. Du coup, ils ont été condamnés à des dommages et intérêts. Ils rendaient entièrement responsable la tierce personne de leur perte de procès.

Quand l'ex parrain de mon fils m'a annoncé la nouvelle, il m'a envoyé un mail entier de propos injurieux sur cette tierce personne. Moi, je ne voulais pas prendre partie car je ne suis pas responsable des choix des autres et chacun fait comme bon lui semble et assume ses choix alors.

Vendredi, j'envoie un mail pour demander des nouvelles et là, je reçois comme réponse des injures (encore!) contre cette tierce personne et que j'étais responsable de tout ce qu'il lui arrivait. Je lui réponds que j'aimerai recevoir autre chose qu'un mail entier sur quelqu'un d'autre et que je ne comprends pas son attitude. Je l'ai toujours soutenu. Mon mari s'en mèle car il n'apprécie pas les propos que je reçois. Cet homme lui répond la même chose: que je suis malhonnête, que je ne joue pas franc jeu et que je me sers de cette tierce personne (en quoi, Dieu seul le sait!) et, qu'en plus, je cache des choses à mon mari. Encore heureux que mon mari a confiance en moi sinon çà pourrait lui mettre le doute sur moi.

L'ex parrain de mon fils est devenu complètement fou. Il cherchait un bouc émissaire de la perte de son procès, de son entêtement, de sa volonté d'écraser des gens qui n'en valent pas la peine et, malheureusement, je suis passée par là.

Depuis hier, je ne me sens pas bien forcément. Hier soir, on a mangé hamburgers et, ce midi, on est allés en bord de mer mais je me suis goinfrée un banana split. Cette nuit, j'ai mal dormi et pensé sans cesse à lui et au pourquoi de cette attitude. Et surtout, pas une seconde, il a pensé à mon fils donc celui devait être son filleul, pas une seconde, il s'est dit que son comportement aboutirait à cette conclusion.

Je ne veux plus entendre parler de lui.

Pourquoi se sont les gens qui vous touchent le plus qui vous font le plus mal (c'est ce que je lui envoyé par mail)?

   Merci de m'avoir lu. çà me fait du bien de me confier à vous.

En allant sur vos blogs, je trouve par ci par là des tests que je fais immédiatement mais je n'ai pas toujours le temps de faire un article.

Donc voilà les résultats, je suis Groscopain avec un soupçon de Forrest Gump et un peu de Fourmi.

C'est grave Docteur?

A première vue, Groscopain, on n'y croit pas car j'aurai dit plutôt Grognon mais, quand on me connait vraiment, on sait que je veux toujours rendre service et que les amies, c'est sacré (c'est pour cela que j'en ai peu).

La Fourmi....oui....je suis économe, prévoyante et quand le bise fut venue...

Par contre, Forrest Gump????? Il est gentil mais, quand même, je pense être un peu plus maligne que lui (enfin, j'espère!). En tout cas, il est preuve de ce que je dis souvent: ce ne sont pas forcément les études qui font les réussites...mais çà aide.

En tous cas, la vie est comme une boite de chocolat, on ne sait jamais sur quoi on va tomber (ou lequel on va manger...avec modération!)

Notre chère amie Carole nous a fait un nouveau blog dédié à ses recettes pas très WW mais qui donnent l'eau à la bouche rien qu'à parcourir son blog: http://mesrecettes.cuisineblog.fr/index.php?all.

En plus, la présentation est très sympa et claire.

Alors foncez lui rendre une petite visite.

J'ai trouvé l'idée amusante chez Cathie. Se retourner sur le passé ne me plait pas trop mais voir l'avenir me convient bien.

1977: j'ai un an. Je vis sur la côte d'Azur avec mes parents.

1982: on est remontés en Normandie, chère au coeur de mon père. Moi, je serais bien restée dans le Midi. Surtout que, maintenant, mes parents sont séparés. Je fais mon entrée à l'école (pour la première fois, je ne suis jamais allée à la maternelle): le CP, Mme Brugnon.

1987: je fais mon entrée chez les grands: le collège. Je rencontre ma meilleure amie qui l'est toujours. çà commence mal: on s'embrouille pour un garçon. Elle me fait une scène alors que je n'étais même pas intéressée par lui. On est super fâchées pendant deux ans.

1992: je rentre en 1ère Scientifique. Ma meilleure amie avec laquelle on a fait les 400 coups sur les trois dernières années a suivi une autre voie que la mienne mais on est toujours amies. Cependant, je me sens vraiment solitaire à cette époque. Pas de petits copains, pas de copines...Caliméro.

1997: je suis avec mon petit ami de l'époque et mon premier......(si vous voyez) depuis un an. Après le bac S en poche l'année passée, je suis en fac de Droit et je viens de rencontrer une très bonne amie dont je serai le témoin de mariage.

2002: je suis avec mon futur mari depuis un an. Je deviens, donc, le témoin de mariage de mon amie. Mariage remplie d'amour et de bonheur qui respire l'amour éternel...il est fou d'elle, veut un enfant tout de suite. Je l'envie. Je bosse de petits boulots après avoir plaqué la fac pour m'occuper de ma grand-mère malade.

2007: je suis mariée depuis trois ans et j'ai un fils qui va avoir deux ans. Je n'ai malheureusement pas encore trouvé ma voie professionelle. J'ai accumulé vingt kilos depuis la naissance de mon fils. Je n'ai jamais eu autant de poids. Mon amie dont j'ai été le témoin est divorcée depuis 7 mois avec une petite fille de 3 ans à élever seule car son père a décidé de partir vivre avec une autre femme quand elle avait à peine 3 mois. Cette amie que j'enviais tant il y a quelques années a eu deux cancers en deux ans et doit travailler comme une forçat pour faire vivre sa fille. Heureusement, elle vient de rencontrer quelqu'un avec qui elle fait construire une maison.

.....et 2012: j'ai retrouvé ma ligne malgrè un deuxième bébé (une petite fille prénommée Lisa, croisons les doigts). Cette fois-ci, j'ai fait attention à ma prise de poids pendant ma grossesse. La première fois, 22 kgs de pris et presque autant de gardés....non, non, on ne me la fait pas deux fois. On a acheté un appartement avec mon mari après que j'ai réussi à trouver un emploi d'auxilaire de puériculture (oui, je sais, une idée que j'ai dans la tête en ce moment mais il parait que je serai très bien là-dedans). On a, enfin, notre chez nous. Je me sens détendue et je suis une femme comblée...j'ai 36 ans et je vois la quarantaine s'approcher sereinement. Mon fils a 7 ans et grandit tellement vite. Il s'occupe à merveille de sa petite soeur.

Après une première semaine fulgurante, il y a un petit coup de mou pour cette semaine: seulement 100 grammes de perdus.

Mais la moyenne sur deux semaines est honorable: -2kgs.

çà ne pouvait pas être parfait avec mon atelier cuisine au chocolat et un restaurant pour un anniversaire dimanche.

Ce que j'ai appris sur moi cette semaine: c'est que je suis motivée, je ne suis plus tenter par toutes les sucreries comme avant. Dès que j'ai une contrariété, je ne me jette plus sur la nourriture. Je gère. Il y a aussi que, maintenant que je reprends de bonnes habitudes, dès que je dévie, je ne me sens pas bien. Après mon restaurant, dimanche midi, je me sentais malade. J'avais mal au coeur et, pourtant, je ne me suis pas goinfrée mais mon corps refuse ce trop dorénavant.

Ce que j'ai appris en réunion: qu'il fallait manger des féculents à chaque repas. Certes! mais moi je ne peux pas en manger midi et soir. J'essaie de les intégrer le midi mais, pour le soir, je ne peux pas. Alors une petite astuce à laquelle je n'avais pas pensé: manger un gâteau de riz ou une semoule au lait. Cela permet, en plus, de faire manger un laitage. A comptabiliser, of course!